Un climat de panique s’est emparé de plusieurs grandes villes israéliennes, notamment Tel Aviv et Haïfa, à la suite d’une série de frappes de missiles lancées par l’Iran ces dernières heures. Des explosions ont été signalées dans des zones résidentielles, provoquant stupeur, chaos et un mouvement massif de population.
Selon plusieurs médias et sources locales, les attaques ont entraîné une véritable débandade dans certains quartiers, avec des civils tentant désespérément de fuir ce qu’ils considèrent désormais comme des zones à haut risque. Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux montrent des files d’attente aux stations-service, des embouteillages monstres sur les axes routiers majeurs, et des rassemblements improvisés aux abords des ambassades et consulats étrangers.
Malgré les restrictions strictes imposées par le gouvernement israélien, qui interdit toute sortie du territoire sauf pour les diplomates, les hommes d’affaires et les touristes étrangers, des milliers d’Israéliens cherchent à quitter le pays, redoutant une escalade du conflit. D’après certaines sources, des citoyens tenteraient même de se faire passer pour des ressortissants étrangers, prétextant vouloir « rentrer chez eux » pour échapper à la guerre.
Pour l’instant, les autorités israéliennes n’ont pas communiqué officiellement sur le nombre de blessés ou les dégâts matériels. Mais dans les rues de Tel Aviv comme à Haïfa, l’inquiétude est palpable. Des sirènes d’alerte continuent de retentir à intervalles réguliers, et les abris anti-aériens sont bondés.
Cette situation tendue marque une nouvelle étape dans la confrontation directe entre l’Iran et Israël, et fait craindre une extension rapide du conflit au reste de la région.
