« Face à l’attitude ouvertement hostile de l’Algérie, qui refuse de récupérer ses ressortissants indésirables, il faut enfin être lucide et oser le bras de fer : gel des transferts de fonds privés, suspension de la délivrance des visas, fin de l’aide publique au développement, remise en cause du traité franco-algérien de 1968. La France doit enfin se faire respecter par un pays qui a dépassé depuis longtemps toutes les limites de l’indécence. »
