Le Bureau du Parlement de la CEDEAO tente de museler les parlementaires, menaçant la liberté d’expression.Dans une déclaration choquante, le Bureau condamne fermement les critiques des chefs d’État et de gouvernement, qualifiant toute critique de « non parlementaire » et menaçant de sanctions ceux qui ne se plient pas à cette directive.
Cette décision autoritaire bafoue les principes fondamentaux de la prétendue « démocratie » et de la liberté d’expression, « piliers essentiels » de la CEDEAO. Le rôle du Parlement est de scruter l’action des dirigeants, pas de les encenser aveuglément.
Les parlementaires ne doivent pas être réduits à des marionnettes dociles, applaudissant aveuglément les décisions des chefs d’État. Ils ont le devoir de représenter les citoyens et de s’exprimer librement, même si leurs opinions divergent de celles des dirigeants.