
Au Tchad où il y a au moins 3 mois de saison pluvieuse, la population tarde encore à s’habituer à l’usage du parapluie.
Ce qui fait que, pendant les saisons pluvieuses, toutes les activités tournent à ralenti voire même bloquées. Ce comportement anormal est digne du comportement des pays qui occupent souvent le bas de l’échelle, sur le plan économique.
D’une part, ce n’est qu’une question de négligence et d’autres parts, c’est aussi une question d’habitude, sans oublier la paresse, vu que les participants de moindre effort en profitent et trouvent des excuses pour s’absenter dans leurs occupations respectives.
Au mois d’août où il pleut quasiment tout le temps, cette habitude joue vraiment sur le rendement de tout un chacun et sa joue également sur l’économie du pays. Et effectivement, c’est en cette période où la population remarque elle-même que la galère touche le sommet.
Dans certains pays où il pleut tout le temps, tels que le Cameroun et le Gabon, la population est obligée de trouver une solution pour braver la pluie et aller vaquer à ses occupations. Tandis qu’au Tchad, en cas de petite pluie, tout est reporté immédiatement, parce que personne n’ose sortir et l’utilisation du parapluie ne fait pas partie de nos habitudes.
Les tchadiens doivent imiter les bons exemples venant du voisinage afin que cela stimule le rendement et renforce l’économie du pays. La pluie n’est pas le feu.