Cameroun : l’État serre la vis contre l’insalubrité urbaine

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Cameroun : l’État serre la vis contre l’insalubrité urbaine
Face à la recrudescence des plaintes liées à l’insalubrité dans les grandes agglomérations, le ministre de l’Administration territoriale, Paul Atanga Nji, a donné des instructions fermes aux gouverneurs de régions pour mettre fin au dépôt anarchique des ordures ménagères sur la voie publique. Dans un message-fax estampillé « très urgent » et daté du 24 décembre 2025, le membre du gouvernement alerte sur l’amoncellement des déchets, notamment le long des axes principaux et dans certains quartiers, une situation jugée préjudiciable à la salubrité publique et à l’attractivité des villes camerounaises.

Face à la recrudescence des plaintes liées à l’insalubrité dans les grandes agglomérations, le ministre de l’Administration territoriale, Paul Atanga Nji, a donné des instructions fermes aux gouverneurs de régions pour mettre fin au dépôt anarchique des ordures ménagères sur la voie publique. Dans un message-fax estampillé « très urgent » et daté du 24 décembre 2025, le membre du gouvernement alerte sur l’amoncellement des déchets, notamment le long des axes principaux et dans certains quartiers, une situation jugée préjudiciable à la salubrité publique et à l’attractivité des villes camerounaises.

À compter du 1er février 2026, les préfets, en liaison avec les maires, devront procéder à la délocalisation des bacs à ordures visibles sur les grandes artères et à l’identification d’espaces dédiés au dépôt des déchets à l’intérieur des quartiers, tout en garantissant l’accessibilité aux engins de collecte. Le ministre insiste également sur le respect strict des plages horaires de collecte, fixées entre minuit et 6 heures du matin, et autorise la prise d’arrêtés préfectoraux interdisant aux entreprises du secteur de placer des bacs sur les axes principaux.

Par ailleurs, un recensement exhaustif des points de dépôt et de pré-collecte situés sur les routes principales est exigé, ainsi que des descentes régulières sur le terrain des autorités administratives, accompagnées des exécutifs municipaux, afin de s’assurer de l’application effective des mesures. Le ministre Atanga Nji demande enfin à être tenu informé des dispositions prises et des éventuelles difficultés rencontrées, soulignant le caractère prioritaire et urgent de cette lutte contre l’insalubrité urbaine.

Constant Danimbe
Constant Danimbe
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