Le président américain Donald Trump a affirmé mardi que les États-Unis étaient « très proches » de finaliser un accord visant à mettre fin au conflit en Ukraine. Selon une source proche du dossier, la dernière version du plan américain serait « significativement meilleure » pour Kiev par rapport à la première mouture proposée.
Cette nouvelle version prévoit notamment que l’Ukraine puisse maintenir une armée de 800.000 militaires, contre 600.000 dans la première version, renforçant ainsi la capacité défensive du pays tout en ouvrant la voie à des négociations diplomatiques. Les détails précis de l’accord restent pour l’instant confidentiels, mais l’annonce de Trump intervient alors que la communauté internationale suit de près les évolutions du conflit, marquées par des tensions persistantes et des efforts soutenus pour trouver une solution durable.
Des analystes estiment que si cet accord se concrétise, il pourrait constituer un tournant majeur pour la sécurité européenne, tout en testant la capacité des parties à concilier exigences militaires et compromis diplomatiques. Washington insiste néanmoins sur le rôle central de Kiev dans la validation finale de tout accord, soulignant que la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’Ukraine restent des lignes rouges dans les discussions.
L’initiative américaine intervient dans un contexte géopolitique tendu, où la Russie et ses alliés restent attentifs à l’évolution du dossier, tandis que les partenaires européens plaident pour une issue qui garantisse stabilité et sécurité dans la région. L’issue des négociations reste incertaine, mais les signaux envoyés par Washington et Donald Trump ravivent l’espoir d’un règlement pacifique à long terme.
