L’ancien président Gabonais Ali Bongo a arrêté sa grève de la faim, le 30 juin 2024. Il avait cessé de s’alimenter le 14 mai 2024 pour protester contre le traitement de son épouse Sylvia et de leur fils Noureddin, tous deux incarcérés. Leurs avocats dénoncent une « séquestration » et des « actes de torture ». Leur entourage reste inquiet alors que les vacances judiciaires dans ce pays d’Afrique centrale ont débuté le 1er juillet 2024.